On est tous stressé, trop de pression, pas le temps de tout faire.
A cela s’ajoute désormais le télétravail qui incite au surmenage en supprimant la frontière privé/professionnel .
Un grand nombre de personnes se sentent sur le fil et veulent agir.
Alors que faire ?
Commencer par lister plus précisément comment ce stress se traduit au quotidien : l’impression de subir ? ne jamais avoir le temps de se poser ? une course permanente ? la charge mentale de toutes ces actions non faites ? un sommeil perturbé par ces pensées ? une fatigue récurrente ? …
Puis apprendre à calmer son esprit, apaiser ses pensées pour dénouer ces impacts émotionnels.
Mais souvent la tension revient aussitôt, à peine replongé dans l’environnement professionnel.
C’est le signe d’une seconde sorte de stress : le stress organisationnel.
Il est le résultat d’un déséquilibre de l’environnement qui sur-mobilise les ressources personnelles que l’on engage pour y faire face.
La réaction émotionnelle n’est alors que la conséquence et non la cause profonde.
Eteindre cette alerte par une détente émotionnelle ne règle rien de la perturbation qui en est à l’origine. Cela ne fait alors que reporter le problème à plus tard, ou pire cela le fait perdurer et s’aggraver en silence. Car ce déséquilibre use les ressources physiologiques et mène irrémédiablement au burn-out.
Donc attention à ne jamais se contenter de traiter un stress d’origine organisationnelle uniquement sous l’angle émotionnel.
C’est-à-dire tout ce qui est du domaine de l’environnement des conditions de travail qui changent : des nouvelles prises de responsabilités, ou encore des sujets plus toujours plus nombreux à traiter, des délais qui se raccourcissent, des impératifs de restitution qui changent…
A noter que ces deux sortes de stress coexistent en général et se cumulent pour constituer le ressenti global de stress.
Elles sont également interconnectées : un niveau de stress anormalement élevé va exacerber par exemple des difficultés relationnelles qui auraient été gérées en temps normal. S’attaquer aux causes organisationnelles qui ont fait gonfler le niveau de stress est la manière la plus pérenne de traiter le sujet.
En tant que spécialistes du stress organisationnel depuis plus de 10 ans, nous constatons régulièrement à quel point il est peu naturel de penser au stress organisationnel tant les injonctions de la société nous poussent à croire que les évolutions informationnelles et techniques qui s’imposent à nous sont toutes directement bénéfiques.
Pourtant, il est facile de réduire son stress organisationnel.
L’approche est très pragmatique, et elle apporte des résultats immédiats et durables. (résultats obtenus avec notre méthode de Logistique d’informations ©).
Rééquilibrer son fonctionnement personnel pour éviter tout stress organisationnel est donc une action très bénéfique.
Un atelier pour y voir clair
Vous vous demandez, dans vos ressentis actuels, ce qui est du ressort du pur émotionnel et ce qui est causé par un déséquilibre organisationnel ?
Notre atelier en ligne vous permet d’analyser cela de manière très ludique :
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