Droit à la déconnexion,
comment LE METTRE EN OEUVRE EFFICACEMENT

– la démarche à connaître –

On parle tous de déconnexion

sujet d’actualité depuis que c’est devenu un DROIT (loi El-Khomri, applicable depuis le 1er janvier 2017). Il s’agit de mettre fin à cette connexion permanente des mails et autres outils de communication, qui ne respecte pas la séparation vie professionnelle / vie personnelle.

Cela couvre en réalité plusieurs sujets

Réguler les échanges de mails tardifs (au travers de réponses technologiques telles que le mise en place de créneaux sans distribution des emails envoyés par exemple) est une préoccupation à avoir, mais ce n’est qu’une part minime de la problématique.

Le Droit à la déconnexion concerne plus globalement toute activité hors du temps de travail, par exemple le fait de terminer un dossier urgent chez soi le soir.

Une attention particulière doit être portée sur l’activité effectuée hors du bureau et qui semblerait pourtant librement choisie par le collaborateur. Qui ferait le choix de terminer un dossier le soir chez lui s’il avait pu le traiter naturellement à un autre moment ? personne. Et ce n’est pas qu’une simple question de charge de travail, c’est un des impacts moins connu de la connexion permanente.

Voilà pourquoi il est primordial de bien traiter toute la globalité du sujet lors d’une démarche de mise en place du Droit à la déconnexion.

La nouveauté

c’est qu’il est possible aujourd’hui de

provoquer une déconnexion « spontanée » des collaborateurs

en donnant les moyens à chaque collaborateur de traiter tous les impératifs
qui s’imposent à lui dans le temps professionnel.

Cela passe par une approche organisationnelle différente, ajustée au mode de travail que les emails ont imposé (volume, immédiateté, …).

C’est la spécificité de l’Agilité Organisationnelle développée par Docenvue : une méthodologie d’organisation personnelle adaptée au fonctionnement actuel d’hyper connectivité, et de réactivité extrême. En adoptant les pratiques d’Agilité Organisationnelle que nous proposons, chacun retrouve un temps vraiment significatif (jusqu’à 2 heures par jour) ; ce qui réduit de fait la surcharge ressentie et permet de traiter les impératifs pendant la journée de travail.

En conclusion, une clef essentielle à la mise en place réussie du Droit à la déconnexion est de bien percevoir quels sont les impacts de la connexion permanente dans sa structure, selon les pratiques en place, etc. C’est ce diagnostic qui va guider vers les réponses adaptées à mettre en œuvre. Il s’agit d’évaluer notamment le degré de connexion hors des temps de travail des collaborateurs, ou encore le niveau ressenti de travail dans l’urgence.

Spécialistes de cette approche nous sommes à votre disposition pour vous proposer, au delà de ce diagnostic, des réponses sur-mesure vraiment opérationnelles, contactez-nous.